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28 mars 2011 1 28 /03 /mars /2011 08:49

Nous ne pouvons pas être des anges ; notre corporalité dans ce monde tangible nous invite à ressentir et à habiter en toute conscience cette réalité physique du monde manifesté. Une personne dépressive ne parviendra même pas à traduire par des mots ce qui la tracasse vraiment. Elle ne sait pas ce qui lui arrive. Elle ne comprend généralement pas pourquoi l’ennui la terrasse et l’envie de rien faire la maintient dans la passivité. Tout devient source d’anxiété et le quotidien se transforme en un véritable cauchemar pour elle. Les amis habituels ainsi que sa famille lui sont devenus presque étrangers. A ses yeux, le monde devient le responsable de ses malheurs et un danger imminent, fruit de son imagination, contribue à la garder dans la peur. Si l’on se reconnait dans cette description, des spécialistes avec de bonnes formations sont capables de vous aider. Car, proverbe tibétain « Si vous avez un problème et qu’il existe une solution, reconsidérez le, il perd sa consistance et devient ainsi irréel. Et si vous avez un problème et qu’il n’existe aucune solution, ayez la sagesse de reconnaitre qu’il s’agit d’un fait, d’une réalité suprême vous invitant à la méditation. »IMG_0953.jpg

Notre corps a des choses à nous dire, avec l’intimité de la douleur nous ne pouvons que lui prêter une oreille attentive, l’organe concerné nous en indique la cause. La constipation : que gardons nous de si pénible à ne pouvoir l’exprimer ? Les douleurs à l’estomac : stress occasionné par la contrariété, sommes nous en phase avec ce que nous vivons ? Les maux de tête : voir leur apparition avec un stress, peur ou situation difficile ; les dents : ou problème d’ancrage, pour les plus jeunes des difficultés relationnelles avec la mère ; la digestion : concerne notre identité ou une culpabilité, protection contre les conflits ; les yeux : ou le refus de voir certains aspects de notre vie ; les troubles ORL : refus d’entendre ou difficulté d’exprimer notre ressenti.

Yves Orduna « les nouveaux chemins de la sophrologie » 

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