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5 mars 2014 3 05 /03 /mars /2014 12:04

Prémices d'explosions de couleurs et senteurs en attendant celles de saveurs...2014-03-03 13.27.062014-03-03 13.27.082014-03-03 13.27.26

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22 février 2014 6 22 /02 /février /2014 17:43

Au carrefour de la philosophie, de la psychologie, des neurosciences, de l'économie, de l'écologie, Plaidoyer pour l'altruisme est la somme d'années de recherches, de lectures, d'expériences, d'observation et de réflexion. On peut même rajouter que c’est une étude au scalpel tel que seul un scientifique peut y être entrainé. Tout est complètement argumenté et la contre argumentation ne peut même pas s’y exercer par tous les résultats de recherches consciencieusement rapportés.Alors qu’est qu’on y apprend ? Simplement de la mauvaise foi à ne pas observer que l’ensemble de notre journée est faite d’une succession d’agissements altruistes c’est ce qui nous permet à tous de vivre ensemble mais que l’on va s’arrêter sur l’Agression dont nous avons tendance à en exagérer l’impact. Bien sur les guerres, le réchauffement planétaire et toutes les horreurs dont notre histoire est2014-02-18 114533 jalonnée, l’on se rend compte que là aussi, cela est du à certains conditionnements. Quand aux  psychopathes, petit nombre d’entre nous mais qui font forcément beaucoup parler d’eux, on a d’ailleurs comparé, allez savoir pourquoi, leurs tests avec ceux de grands patrons, le résultat s’avère similaire…sans avoir cependant observé de leur part d’actes condamnables. Il faut rappeler que c’est une pathologie, car l’empathie, le fait de ressentir avec autrui, leur est absent. L’empathie que nous partageons tous, n’est cependant pas suffisante pour éviter le burn out que connaissent certaines professions au contact répété avec la souffrance. La pratique bienveillante de la compassion qui est plus qu’un ressenti mais une volonté de soulager l’autre même si ce n’est qu’en pensée souvent, a un réel impact et évite de se laisser emporter par la tristesse. Ce petit pas de plus fait toute la différence et remporte le jackpot  sur notre propre état mental et sur celui des autres. Il y aurait beaucoup encore à dire sur cette étude et surement à largement la diffuser et dans les écoles pour remettre en place un grand nombre d’idées fausses entretenues par nos militants du parti « de la peur nationale ».

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19 août 2012 7 19 /08 /août /2012 09:09
image-4 0502
YANGSI-RINPOCHE-2008.jpg
Du 4 au 12/08
: ici
Yantsi Rinpoché
mais aussi :
Festival d’Avallon Université d’été17 au 26 août
Institut Karma Ling Savoie
Avec le parrainage de Maria Joao Pirès, Pierre Rabhi, Edgar Morin et Cheikh Khaled Bentounès. Un moment de fête et de partage

Autour de concerts exceptionnels de musique classique et du monde, d’ateliers d’arts et sciences contemplatifs et d’espaces d’échange, de bien-être et de création artistique, le festival d’Avallon renoue avec la célébration de la nature, du partage et de la découverte.

Agir sur soi, Agir sur le monde
Le Festival et l’Université d’été ont pour vocation de contribuer à l’émergence d’un mode de vie harmonieux et d’une société écologique et solidaire. Autour du thème « Solutions locales pour un désordre global », les activités du Festival se déploieront autour de deux perspectives :
 
  • l’action sur soi par la redécouverte d’une relation juste et heureuse à la vie.
  • l’action sur le monde par l’innovation et la mise en place de structures sociales et économiques fondé sur des principes d’harmonie et de non-violence.
    www.festival-avallon.rimay.net
2012-07-19_135514.jpg et aussi en Bretagne centre 
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4 juin 2012 1 04 /06 /juin /2012 09:04

les évènements intellectuels, émotionnels et sensoriels, associés au fonctionnement du mental, il ne peut être défini en tant qu’entité distincte, mais plutôt comme un évènement en perpétuelle évolution. La plupart de nos activités cérébrales sont dues aux interactions de nos neurones, l’échange de mêmes types de messages composent 0603133814DVB-TFrance 2nos « habitudes mentales » en réaction à certaines choses, lieux, personnes, situations. Nos cerveaux reptilien et limbique avec l’activité de l’amygdale et de l’hippocampe ont un fonctionnement autonome lié à notre survie mais aussi à des souvenirs émotionnels donc connotés. Ils vont être contrebalancés par ce qui nous permet de raisonner et d’affiner ces réactions émotionnelles, l’intervention de notre néocortex, siège de nos activités rationnelles. Les spécialistes des neurosciences ont renoncé à l’idée de chercher un chef d’orchestre à tout cela, il n’existe aucune zone dans le cerveau, aucun « moi » pouvant être le coordinateur des informations entre les différentes couches cérébrales, on parlera plus d’accord spontané de ces mouvements de milliards de neurones. Les images de nous-mêmes élaborées et imprimées dans les neurones, à force d’habitude, ne sont pas notre 0124084436DVB-TFrance 2véritable nature, elles sont toujours faites de concepts dualistes, survivances de l’instinct de survie, les sentiments de limitation, d’angoisse, de peur etc ne sont que du bavardage entre neurones, des habitudes dont la bonne nouvelle est qu’elles peuvent être désapprises. L’esprit, dans sa nature originelle, est si vaste qu’il échappe à toute compréhension intellectuelle, il est essence ou matrice, obscurci par l’image limitée de nous-mêmes que créent nos schémas neuronaux, telles les pensées comme « je suis stupide », « incapable »etc. L’essence de l’esprit n’est pas affectée par les pensées ou circonstances que nous considérons habituellement douloureuses, elle est naturellement paisible. Voir livre cité

"L'esprit est au-delà de toute pensée, de toute expression, de toute représentation. Il est inconcevable, inexprimable, indicible. Lorsqu'on le voit, rien n'est vu en tant que tel, car il n'a ni forme, ni couleur, ni caractéristique. lorsqu'il est connu, rien n'est connu car il n'est pas un objet de connaissance."

 Ce qu'on appelle esprit est un phénomène très curieux parfois rigide et réfractaire à tout changement, il peut aussi devenir très souple pour vu que l'on fasse de constants efforts pour le transformer et que l'on se convainque, par la réflexion, que ce changement est non seulement possible mais indispensable. Il ne suffit pas, pour cela, de faire des vœux ou des prières. Il faut que la raison intervienne en s'appuyant sur l'expérience. On ne doit pas non plus s'attendre à ce  que cette transformation s'opère du jour au lendemain, car nos vieilles habitudes résistent à toute solution rapide." SS Dalaï Lama

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30 mai 2012 3 30 /05 /mai /2012 09:43

et des experts en méditation, pour l'expérience : entre 10000 et 15000 heures au cours de leur vie, il en ressort que l’activité neuronale dans une région du cerveau étroitement liée à la sensation de bonheur peut s’accroitre de 700 à 800% ! -Partenariat inspiré par le Dalaï Lama et l’institut Mind and Life, consulter le site www.mindandlife.org- 1ères expériences publiées en 2004, qui prouvent indéniablement la neuroplasticité du cerveau et les changements positifs sur notre activité cérébrale par l’entrainement mental et le savoir faire méditatif. Il est donc possible, 1118133858DVB-TFrance 2contre toute idée que l’on ne peut rien changer dans notre esprit, de parvenir peu à peu à une manière d’être optimale. L’introspection bouddhiste a recours à 2 méthodes, l’une analytique, l’autre contemplative, l’analyse consiste à examiner la nature de la réalité, laquelle est essentiellement interdépendante et impermanente, et à évaluer honnêtement les tenants et les aboutissants de nos souffrances et de celles que nous faisons subir aux autres. L’approche contemplative consiste à tourner son attention vers l’intérieur et à observer, derrière le voile des pensées et des concepts, notre « conscience pure »ou présence. Le véritable but de la méditation est de demeurer dans la conscience nue, clarté naturelle, quoiqu’il se passe ou ne se passe pas dans l’esprit. L’on peut ainsi former son esprit  par l’entrainement, « méditer » signifie « s’habituer », à fonctionner de manière constructive, à remplacer l’obsession par le contentement, l’agitation par le calme, la haine par la compassion. Les 1ers résultats montrent déjà pour les participants qui méditent sur la compassion, une augmentation remarquable des oscillations rapides dans les fréquences dites « gamma » et de la cohérence de leur activité cérébrale. Une vingtaine de mn de pratique journalière contribue significativement à la réduction de l’anxiété et du stress, ainsi qu’au renforcement du système immunitaire et de l’équilibre émotionnel. Des débutants après seulement 3 mois de pratique assidue acquièrent une faculté d’attention considérablement améliorée. Matthieu Ricard.Taper dans l'encadrement  : recherche, à droite son nom ou neurosciences pour d'autres articles

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24 mai 2012 4 24 /05 /mai /2012 09:50

Lui même philosophe et chercheur au CNRS, qui reconsidèrent le rôle de la raison, loin d’être seule détentrice et garante de l’idée de vérité, voir même ce qui la déforme ou en barre l’accès. Revoir :  Chemins qui mènent ailleurs 

Roger Pol Droit, philosophe, chercheur, se demande « qu’est ce un sage ?»

La vertu rend heureux en cette journée de la gentillesse

Ainsi pour Henri Bergson en ce qui concerne notre vécu intime de la durée et Williams James, la relation à l’expérience ou « pragmatisme » est plus décisive puisqu’elle serait elle-même le critère et l’indice de la vérité. Voir l’irrationnel d’après Freud, qui nous révèle avec les expériences négligées comme celles du rêve, des oublis, des symptômes névrotiques une part de notre réalité. Gilles Deleuze comme Charles Péguy voient en eux les libérateurs des 2012-05-23_160345.jpgdogmes, la raison critique les limites et les excès de la rationalité, les méthodes de la science se sont en partie retournées contre elle. François Roustang présente Socrate comme le vrai 1e thérapeute, le non savoir n’est pas absence de savoir, c’est l’expérience de l’incapacité à s’appuyer sur une certitude. Freud établit un processus de construction du désir, d’une élaboration psychique façonnée dés la petite enfance par des représentations inconscientes d’où le fait que le sujet ne s’appartient pas entièrement, dans un double jeu ou clivage. Savoir et vérité ne se situent plus sur le même plan, nous sommes dans une illusion, ce en quoi il est allé plus loin que Nietzsche et Schopenhauer.

Comme Wittgenstein « entrez dans l’existence » qui est bien plus exigeant que de se soumettre à une règle morale « connais-toi toi-même », le langage met en œuvre une forme de vie. Bertrand Russell mathématise la pensée, ce dont rêve Leibniz, algèbre des idées, il veut faire œuvre scientifique en fondant cette « science de l’apparaitre » que constitue la phénoménologie. A l’inverse de Martin Heidegger qui dénonce « l’arraisonnement » du monde par la technique,  « la science ne pense pas » la vérité est masquée, elle doit se définir comme dévoilement et donne à voir la présence de l’être, « le sens de l’être » comme la parole des poètes.  La vérité pour Wittgenstein est d’abord la nécessité de nettoyer la pensée des erreurs générées par nos usages des mots car on ne peut exprimer l’indicible, et des « crampes mentales » que par un travail sur soi même.

Hannah Arendt « les mots justes trouvés au bon moment sont de l’action »  dans une condition humaine politique, régie, l’être humain ne pouvant être isolé, là ou la phénoménologie est l’expérience de « l’être au monde »  mais dans un être ensemble. La vérité selon Willard Van Orman Quine est relative aux systèmes linguistiques et indépendante de la question de la signification, non une vérité ultime mais des vérités partielles, contextuelles voir d’une illusion après avoir rendu aussi clair que possible ce dont on parle.

Ainsi Le XXème siècle voit la désintégration du sens, le monde est insensé, la civilisation ne débouche sur rien, les espérances les plus généreuses engendrent les pires cataclysmes.

La vérité pour Sartre est une création de la subjectivité, le propre de l’humain est d’être perpétuellement à inventer, donner du sens est notre liberté mais aussi notre responsabilité dans une action collective, historique.  Le problème devient très vite une coexistence des libertés, dans « l’humilité de la finitude » je retrouve « l’extase de la création divine » où « l’absence de Dieu est plus divine que Dieu », en me perdant sans réserve dans l’action et dans les autres. Une reconstruction de sens face à l’absurdité du monde pour Albert Camus dans un effort pour persister à vivre, agir au sein de ce monde absurde, la vérité se construit par l’action dans sa confrontation. 

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19 avril 2012 4 19 /04 /avril /2012 09:35

mic.jpgQui n'a rien a voir avec l'homme qui nous joue du pipeau depuis qqs années  avec cet assemblage de fausses notes discordantes. C’est d’ailleurs en ce moment une vraie cacophonie dans cet orchestre électoral ou l’on n’hésite pas à  jouer de vos cordes sensibles et de susciter les mauvaises émotions comme la peur et la haine.

Non là, il s’agit d’une musique authentique et enlevée avec…

Une flute de pan où la bouche coure d’une note à l’autre pour une mélodie entrainant un public glacé par les courants d’air comme dans cette abbaye perdue en altitude. Que dire alors des musiciens, des doigts engourdis du pianiste malgré les mitaines prêtées et de la voix de la mezzo-soprane qui joue aussi de la guitare. Un trio enlevé jouant du Bach, Mozart qui n’aimait pas parait il la flute, des compositions tziganes et tangos argentins, de ce pays de tous les désirs…qui n’existe pas.

Et alors ? Diriez vous…Alors, attachez vous les bras et tentez de vaquer à vos occupations quotidiennes, la et les toilettes, le rangement de la chambrée, la préparation du repas, enfin tout ce qui doit nous les occuper normalement. Et alors tentez de vous entrainer avec maestri pour apporter aux autres un peu de baume au cœur pour le solliciter un peu, le réchauffer avec d'autres oreilles et aides compatissantes que vous, vous avez sous la…main : Extraits : ici

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13 avril 2012 5 13 /04 /avril /2012 10:25

"Les urnes sont des boîtes à double fond, électoral et funéraire : elles recueimages2_2221.jpgillent, avec un léger décalage, nos rêves et nos cendres. Quand les rêves d'une génération tombent en cendres, en arrive une autre pour ranimer la flamme. Cela est bel et bon. Aussi la liesse sera-t-elle du meilleur aloi, place de la Bastille, quand un autre "on a gagné" envahira grands et petits écrans. Un joli mai, en République, cela se fête, après cinq années où la vulgarité friquée nous aura tant fait honte." Régis Debray

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9 avril 2012 1 09 /04 /avril /2012 09:16

(suite :  Ou il est question de responsabilité universelle en ces temps de crises de confiance ) avec Sofia Stril Rever, interprète de SS Dalaï Lama.

Une prise de conscience Universelle qui engage la non violence et rejette tout ce qui pourrait nuire aux autres êtres vivants : tous, tout comme moi, souhaitent se libérer de la souffrance.

0408083648DVB-TFrance-2.jpgUne prise de conscience de ce qui nous unit, comme nous prenons soin des êtres qui nous sont chers, nous pouvons l’étendre à l’Univers, qui est en nous, car nous en sommes une partie.

La non violence n’est pas un principe nouveau, 0408083320DVB-TFrance 2mais émis depuis des milliers d’année, base de la spiritualité, Gan2011-09-12 211704dhi en a fait une philosophie en démontrant que tout est possible sans violence, vénérable Samdhong Rinpoché, ex 1er ministre. Ce que démontre aussi Robert Truman, professeur à l’université de Columbia, chacun peut cultiver la compassion comme nature dans un esprit toujours en train de créer ce type d’attention. Nous avons le devoir d’être optimiste car le pessimisme est une excuse d’égoïste pour ne rien faire, l’optimisme : pour ne pas céder à la peur. Kalachakra ou roue du temps, pour une pratique de cette responsabilité, en prise de conscience de l’interdépendance, interrelation de l’être humain et de son environnement, interrelation avec le monde. En principes de célébration individuelle, de la prise de conscience de la relation que chacun mène avec les autres et au niveau plus subtil de la circulation de ses énergies liées à l’Universel. Livres voir article précédent Revoir :  ici.

 

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2 avril 2012 1 02 /04 /avril /2012 09:09

0401084425DVB-TFrance-2.jpgDans l’émission Sagesses, commentaires des propos de l’ancien 1er ministre du Tibet en exil, Venerable Samdhong  Rinpoche, personnalité charismatique, dans la lignée de Gandhi, par Sofia Stril Rever, interprète de SS Dalaï Lama. Chaque individu a par sa nature même, certaines respon0401084359DVB-TFrance-2.jpgsabilités et devoirs à accomplir dans notre civilisation post moderne. Alors que nous parlons plutôt de droits à avoir, mais cela passe nécessairement par des devoirs qui sont reliés à la responsabilité universelle, et non de droits ou privilèges. Etre humain nous engage dans un comportement Ethique par rapport à notre environnement et aux générations futures, car chacun de nous est une part inséparable de l’Univers. La responsabilité universelle c’est être conscient de l’impact non seulement de nos actes mais de nos paroles et pensées, car cela va en réalité au delà de notre cercle restreint ou0401084408DVB-TFrance-2.jpg proche immédiat. « Entendre le nuage dans la cloche », koan zen, qui refait tout le processus qui nous permet d’entendre le son de la cloche, du nuage à l’eau qui fait pousser les arbres, du bois qui va servir à la fonte des matériaux de la cloche, « le battement de l’aile d’un papillon au Brésil déclenche une tornade au Texas » Edward Lorenz, scientifique. On parle d’attitude extraordinaire, une responsabilité qui nous engage auprès de tous les êtres vivants dans une notion de causalité, on l’a vu, qui englobe toute vie. Faire face aux crises, qui sont des périodes douloureuses, ce sont des occasions de renouvellement de nos schémas habituels de pensées, de prise de conscience et de remise en question.

Nous avons à faire face à 4 ou 5 grands défis, face à l’accroissement de la violence et de ses causes comme le désespoir économique et ses profondes injustices, à la dégradation de notre environnement, à l’intolérance spirituelle qui est la marque d’ absence de dialogues. Cette violence c’est face à soi même et face aux autres, face à l’agressivité et toutes les situations de conflits et d’injustices. Là où nos ressemblances l’emportent sur nos différences, SS Dalaï Lama, retrouver notre paix intérieure qui est le fruit de la compassion, du cœur humain et l’étendre autour de soi dans une interdépendance avec la terre en partage, dans une communauté de vie, de ce qui nous relie. Revoir : ici.

 

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