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20 octobre 2009 2 20 /10 /octobre /2009 09:41

 

Les « justes » ces hommes et femmes du quotidien

Justes parce qu’ils font juste le geste d’humanité

Que l’on pouvait attendre en devers de tout danger

Parce qu’ils ont juste le mot, la parole qui soutient

Quand on s’est quelques instants égaré

Ils ne font pas de grands discours

De belles paroles avec du monde autour

Ils sont plutôt réservés et en retrait 

Fuyant les guerriers qui parlent de paix

Un homme une femme juste attentionnés

De ceux qu’il est juste bon de croiser

Pour un regard et une main ouverte.


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19 octobre 2009 1 19 /10 /octobre /2009 09:41
 

 l’un dans un combat acharné pour sortir son fils d’un autisme dans sa forme la plus grave, l’autre pour faire découvrir à son fils de 15 ans le monde comme une initiation du passage à l’âge adulte. Témoignage d’un père, tout simplement, australien qui ayant observé des prémices de communication de son fils avec la jument du champ d’à côté, a exploité cette possibilité et a profité de techniques de guérison chamaniques, par la transe, de tribus des alentours. Ces progrès dans l’évolution de la maladie de son fils lui ont donné l’idée de partir en Mongolie, pays à la fois de chevaux et de chamans pour poursuivre l’expérience. Comme il le dit simplement cela ne l’a pas guéri totalement mais lui a permis de résoudre les principales difficultés comme son énurésie handicapante et lui permet désormais de se faire des amis.

L’autre père, est parti seul avec son fils, voyage ou père et fils se découvrent autrement, l’un avec ses photos, l’autre se révélant des talents d’écriture pour les illustrer. Connivence et respect l’un pour l’autre amènent à une relation qu’il a fallu construire de jour en jour dans la découverte des autres et de soi même.

2 témoignages qui curieusement pourraient presque paraitre exceptionnels…

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6 octobre 2009 2 06 /10 /octobre /2009 09:41

En ces jours une de mes figures familières disparait

La vitalité du corps esprit peu à peu s’en est allée

Par déjà la naissance dénouement bien obligé

D’une mort longtemps pour tous annoncée

Il nous reste à regretter notre pilier

Qui avait réussi à nous protéger

Pulsions de mort agression

Et forces de destruction 

Qui vont sûr se délier

Rien ne va les arrêter

Sans son humanité.

 

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29 septembre 2009 2 29 /09 /septembre /2009 09:31
La nature procure une harmonie par connexion
et par appartenance : simplement se sentir vivant
au milieu de toutes les formes de vie,
et comprendre que c'est une chance.
Goûter au bonheur élémentaire d'exister.

Chaque fois que nous respirons l'odeur
des champs ou de la forêt, c'est l'écho lointain
du bonheur de ces "retrouvailles biologiques"
qui se fait entendre en nous. Ces rencontres
avec la nature font plus que nourrir notre
bonheur : elles lui sont indispensables.
"Je me suis levé la nuit et j'ai regardé
le paysage.Jamais, jamais la nature ne m'a paru aussi émouvante, aussi délicate." Vincent Van Gogh
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25 septembre 2009 5 25 /09 /septembre /2009 09:20

Il reste encore cette culpabilité primordiale (judéo chrétienne) : que l’on devrait tout devoir à nos géniteurs, ou ceux qui nous ont éduqué, pour F Héritier, anthropologue cela est même plus important que le biologique en référence à d’autres modes de sociétés. Et l’on reste sa vie durant à attendre Le geste qui va permettre de tout pardonner. Accepter alors que l’on ne pourra pas changer cette ou ces personnes c’est aussi faire preuve d’humilité, s’ils avaient dû changer, vous vous en seriez aperçu durant toutes ces années.

Ne plus accepter de se faire maltraiter par une ou des personnes narcissiques et dépressives en hyper exigence ou des personnalités paranoïaques. Ces personnes sont dans la destruction d’elles-même et de tous ceux qui les entourent et rien ni personne ne pourra les satisfaire. A cause de ce lien vous n’êtes pas la personne la plus apte à l’accompagner, si vous êtes du même sexe, elle ne va cesser d’être en rivalité avec vous, si elle est de l’autre sexe, elle va être dans la séduction incestueuse et vous courrez alors un grand danger. Dans l’un comme l’autre cas, au risque de déconstruction de votre propre vie, l’éloignement est salutaire, ce qui ne veut pas dire une non prise en charge, car ces personnes en ont besoin si elles sont aptes à l'accepter. Vous ne pourrez jamais être leur chose malgré votre tendance suicidaire ou masochiste à vous résigner et à fuir ainsi la vie. Vous ne pourrez que tourner en rond dans une cage qu’il n’appartient qu’à vous d’ouvrir. C’est un long travail d’acceptation de la situation et de votre propre inefficacité en tant qu'objet et sûrement aussi d’un travail sur une colère que vous avez profondément enfouie et qui va vous grignoter de l’intérieur si vous n’agissez pas. Juste en prendre conscience pour ne pas aussitôt courir dans d’autres histoires qui ne vous rappelleront que trop bien celle que vous avez toujours connue.

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23 septembre 2009 3 23 /09 /septembre /2009 10:04

Nous sommes souvent dans des états d'esprit dont nous n'avons pas conscience, nous ne nous voyons pas et regardons les autres travers à nos propres fautes. Nous ne voyons pas la jalousie à l'intérieur de nous mais nous la projetons sur le monde extérieur et sur les autres. Lorsque la jalousie imprègne notre esprit, nous n'en sommes pas nécessairement conscients, de même que nous ne percevons pas les autres émotions telles que l'orgueil ou la colère qui influent sur notre manière de voir. Cela signifie que nous interprétons leur comportement: nous sommes persuadés qu'ils pensent de telle manière, qu'ils agissent pour telle ou telle raison; et nous développons colère et rejet à l'égard de leur manière d'agir. Cela est encore compliqué par notre orgueil: nous pensons que nous agissons toujours correctement et que toute faute dans une situation est due aux autres. Notre attention est constamment dirigée vers l'extérieur et vers autrui. Nous avons développé l'habitude de regarder dans cette direction et perdu complètement celle de tourner notre regard vers nous-mêmes. Notre esprit est sans cesse secoué par la colère, la haine et la critique, et il en résulte une incessante souffrance.

D’après enseignement de Guendune Rimpoché

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14 septembre 2009 1 14 /09 /septembre /2009 09:57

C’est tellement simple et à notre portée pour ne pas l’utiliser

A condition d’y porter une juste attention

Chercher endroit moelleux pour s’y reposer

Observer par la même occasion nos zones de tension

Diriger avec application la pompe à ventiler

Peu à peu, de la périphérie vers l’endroit délimité

Quelques instants de concentration

A remplir et vider profondément

Et la zone crispée va se diluer.

Accompagner le diaphragme quand l'air est vidé

Du bas vers le haut pour que la descente d'organes soit évitée

Développer la sensation interne par le mouvement des vents

Et dans le cerveau d’une zone motrice et sensorielle équivalent.

Atelier sur le souffle du docteur Hugues Gouzenes

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11 septembre 2009 5 11 /09 /septembre /2009 09:49

Pas de planète Vénus contre la planète Mars, d’orientations spatio-temporelles contre la linguistique, cerveau gauche contre le droit, de ceci contre cela qui font beaucoup vendre chez les libraires non juste une imprégnation culturelle.  Imprégnation qui nous poursuit depuis l’aube des temps quand l’homme s’est rendu compte qu’il ne pouvait se reproduire à l’identique. On est peu de choses, en représentation binaire de l'ordre de l'identique et de la différence et surtout des êtres de désir et quand l’un a une certaine faculté : il faut se l’approprier. Donc il a fallu s’approprier le corps des femmes qui pouvaient se dupliquer et reproduire le sexe opposé. Il a fallu contrôler ce pouvoir qui échappait à une partie des 2 sexes et bien qu’il ait pu exister des sociétés matriarcales, la domination de l’homme se retrouve toujours en filigrane, les amazones restant plus de l’ordre de la légende. A l’origine de la domination masculine, il y a la volonté de mainmise des hommes sur le pouvoir de fécondité des femmes. Remercions les religions pour, entre autres, avoir exacerbé « le droit différentielle des sexes » et entériner la certitude de l’infériorité des femmes que l’on considère comme naturelle.  500 000 ans pour construire ce modèle sauf que l’accès à la contraception, obtenu sans qu’on en ait réellement compris l’impact est la vraie libération des femmes. Supprimer les aprioris sur la force physique qui serait due à une alimentation désavouée, car dans certaines sociétés ce sont les femmes qui font les travaux les plus durs. Pour ne point douter de ces préjugés qui durent, il suffit de regarder les concours d’Etat, sous prétexte de parité, on nomine des hommes alors que les femmes sont pour 80°/° de réussite…Sans compter tout ce qu’on se traine encore comme reliquats macho-politico-religios.

Commentaire du livre « Une pensée en mouvement »

 

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3 septembre 2009 4 03 /09 /septembre /2009 09:28

Entretiens audios avec JY Leloup,  Marc de Smedt à l’INREES et Philippe Solers dans « Nouvelles clés »

Le « je suis » un simple niveau de conscience, le fils de mes parents, du cosmos, le fait de repérer dans le quotidien avec un qualificatif, des rôles, représentations ou le « je suis » est coincé, fixé. Mais qui suis-je vraiment hors des identifications, dans la faille entre ce que je crois être imaginé, projeté en nous par d’autres et « je suis ». C’est à travers cette question qu’on peut trouver le chemin de l’éveil, rester dans le sentiment du « je suis » qui est, non le « qui suis-je » mais « où suis-je » qui nous ramène dans le présent, capacité d’entrer en relation. Les paroles sont comme des symptômes de conscience, le fond de l’être, non une substance comme l’a dit Spinoza mais une relation, en écho des grands textes sacrés, dans ce que l’on découvre de nous.

Pour Marc de Smedt, quel est ce mystère en dedans et en dehors de nous sur le secret de nos destinées, le spirituel est être dans le réel. La genèse ce n’est pas hier, c’est ici et maintenant « en train de s’écrire et de se réaliser en chacun de nous » Borgès. La création passe à travers nous, nous en sommes les artisans,  « La spiritualité c’est la vie de l’esprit » AC Sponville.

Le juste esprit c’est la concentration sur l’instant présent par déjà la conscience de la respiration, alors que la plupart du temps nous rêvons notre monde. Une journée, une vie est faite d’instants, ressentir les différents silences pour développer une force intérieure face à la mitraillette de la parole. L’illumination ce n’est pas l’explosion de sons et lumières c’est dans l’instant quand on se dé scotche du mental, du bavardage et qu’on se découvre par un travail d’éclaircissement sur nous.

Philippe Solers dans « Les voyageurs du temps », « celui qui est a été et sera », « nous avons des somnambules tout autour de nous » Pascal, Heidegger «  j’essaie de créer un espace libre dans le temps ». La vérité temporelle est en dehors de l’intemporel si l’on prend en compte les 3 temps que sont la clarté en opposition aux ténèbres, le mélange notre temps actuel avec le tout sociétal et le temps de l’insurrection.   Le choc résurrectionnel est la prise de conscience par la gnose, la connaissance. Chacun a en lui sa propre grâce et malédiction « je suis la voie du réveil dans la nuit éternelle », « car ne pas prendre en compte le néant est du nihilisme » 

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2 septembre 2009 3 02 /09 /septembre /2009 09:21
Nul besoin de plus de make up, lifting ou vitamines...
Juste une certaine lumière intérieure
Un instantané de bonheur
Sur une ouverture du coeur

Qui efface toutes
les rides.







Qq
s muses du petit ou grand écran...

Juste pour noter comment notre état intérieur va animer notre visage et le corps dans son ensemble. Un état serein détend la peau, lisse les traits, et quand nous avons une joie intérieure, les traits tirent vers le haut, les yeux s’éclairent, la peau prend une teinte lumineuse. A l’inverse la jalousie, la colère, la dépression tirent les traits vers le bas et occasionnent une multitude de rides… Et cela répété tout au long d’une journée, d’années, sillonnent complètement un visage. Faire en sorte que ces instants lumineux ne surgissent pas seulement parce qu’on devient l’attention des autres mais par un vrai lifting intérieur sur notre paix intérieure.

L’aspect extérieur n’est pas négligeable mais il y a aussi l’aura que dégage une personne en paix et sereine, elle attire d’autant plus l’attention et l’attirance.


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