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4 mars 2009 3 04 /03 /mars /2009 10:59
(suite de) : Au gré de la troupe de brigands, l'esprit reste attaché aux 6 objets
Ce qui n'existe pas et n'a jamais existé
Apparait en raison de l'ignorance,
Or, cette ignorance n'est pas une chose existante;
C'est ainsi que j'explique l'ignorance.

Les facteurs composés, la conscience,  le nom et la forme,
Les six sources, le contact et la sensation,
Le désir, la saisie et l'existence,
La naissance, le vieillissement et la mort, la peine, la douleur,
Les souffrances inconcevables du cycle existentiel,
Toute situation dans cette roue de l'existence
Née de la non-origine est sans origine et erronée.
Lorsque l'esprit analytique pourfend la vue du moi,
L'épée de la sagesse libère du filet des afflictions.
Constatez que la réalité des agrégats devient vide
Et touchez les vastes qualités de l'éveil.

J'ouvre la porte de la cité d'ambroisie
Et montre à tous la vasque qui contient l'essence du nectar.
J'ai pénétré dans cette cité d'ambroisie
Et me suis rassasié de l'essence du nectar.

Extrait du soutra dont la récitation se poursuit :
Du 25 Février au 10 Mars, récitation pour la paix...
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3 mars 2009 2 03 /03 /mars /2009 11:19

Le travail avec R Enthoven et Michela Marzano

En fait nous sortons d’une société autoritaire pour une société du volontariat avec l’alibi de l’autonomie  comme un paravent car en fait l’autoritaire reste dans les objectifs des entreprises. Ce qui fait dire à Tocqueville «  le despotisme sournois », on se donne l’air de magnifier le travail mais l’esclavation reste. Nous sommes dans le registre de la manipulation faire croire que les objectifs sont pour chacun de nous, en fait l’autorité n’est plus extériorisé mais complètement intériorisé. C’est d’ailleurs à cause de cette intériorisation que l’on dit que  là où le capitalisme et le communisme se rejoignent : l’un est l’exploitation de l’homme par l’homme et l’autre juste l’inverse. « Le travailleur » est absorbé par le système et par les contraintes des différents rouages, aujourd’hui l’engrenage est plus sournois, d’autant plus que le chacun pour soi  appauvrit le lien social. Simone Weil, la condition ouvrière qu’elle a expérimentée de l’intérieur décrit cette aliénation. Hannah Arendt a fait la distinction entre un travail qu’on peut qualifier d’épanouissant et un travail aliénant. La meilleure prison est elle une prison sans barreau? Pour Karl Marx tout devient marchandise, Aristote avait en mentionnant les politiques parlé de valeur d’usage que l’on donnait à l’objet. Doit-on congédier le travail pour en sortir, toute production doit reposer sur un échange et non devenir que production pour rechercher le juste équilibre. C’est le mythe de Sisyphe d’A Camus, le problème de notre société est qu’elle est trop dans le comment au détriment du pourquoi, qui lui, renvoie au sens. Rétablir l’équilibre du travail entre nécessité et liberté, Hegel avait parlé de la forme de liberté auquel accède l’esclave, lutter contre l’industrialisation du temps de travail, alterner vitesse et lenteur, organiser mieux ce temps du travail.

Revoir l''émission : ici

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2 mars 2009 1 02 /03 /mars /2009 10:52
Le dharma n'est pas une religion, il est même la révocation de tous les "ismes", de toutes les idéologies.

Nous entendons parler de religion, de philosophie, l'enseignement du Bouddha est-il une religion ?  C'est une question de vocabulaire. Si l'on entend par religion l'adhésion à une croyance, à un credo, à une vérité posée comme telle d'une façon dogmatique alors le dharma n'est certes pas une religion, il est même la révocation de tous les "ismes", de toutes les idéologies. Dans ce qu'il a même de plus profond, cet enseignement du Bouddha est une science sacrée, une science de l'expérience ; on pourrait presque dire aussi une science cognitive, une science de ce que nous sommes dans l'expérience. La tradition du Bouddha existe depuis Sakyamuni (vingt-cinq siècles), mais le bouddhisme à proprement parler seulement depuis le siècle dernier. Dans un livre récent Roger-Paul Droit faisait remarquer que le bouddhisme est né aux alentours de 1825. Ce sont des  "bouddhologues" qui ont inventé ce vilain néologisme : "bouddhisme". Donc, nous préférerons parler de "la tradition du Bouddha", le dharma. En un mot la tradition du Bouddha est dharma. Ce mot sanscrit exprime ce qu'est l'enseignement du Bouddha.  Le cœur de l'enseignement du Bouddha est de comprendre ce qui est, ce que nous sommes. "Sache ce que tu es" dit aussi l'adage socratique. Savoir ce que nous sommes, mais dans l'expérience des sens, non seulement dans un discours philosophique. Dharma (toujours ce mot qui signifie l'enseignement du Bouddha) a trois sens :  signifie d'abord tous les phénomènes, entendant par phénomène, tout ce que nous expérimentons par l'un ou l'autre des six sens, de tous nos sens, auditif, visuel, tactile, gustatif, tactile et le sens mental, interne, tout ce que l'on peut ainsi connaître. Dharma signifie ensuite "réalité", mais cette fois-ci, réalité première, primordiale :  l'expérience primordiale. Donc dharma dans son premier sens est la réalité habituelle et dharma dans son second sens est la réalité primordiale. Le troisième sens de dharma  explique ce qu'est dharma au sens premier et dharma au sens second et propose une voie de réalisation, de réalisation de la réalité, de notre réalité, de notre nature dans ce que celle-ci a de plus essentiel, de plus primordial, et l'on peut même dire d'absolu, c'est-à-dire "sans autre" — qui ne dépend pas de quelque chose qui lui soit autre. Donc dharma a ces trois sens : la réalité habituelle, la réalité véritable, il présente la condition de notre état habituel et de notre état foncier, et propose cette compréhension, cette pratique de réalisation, qui fait passer de la réalité habituelle à la réalité foncière, primordiale. Est-ce une religion ou pas ? C'est une question de vocabulaire, mais plutôt que d'employer le mot religion, le dharma se définit comme une éthique, pratique et une spiritualité, une pratique spirituelle.

Conférence du Grep-mp, Parcours 19-20, 4 février 1999 Lama Denys Teundroup supérieur de la Congrégation Dachang Rimé à La Rochette (Savoie), président honoraire de l'Union bouddhique européenne

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1 mars 2009 7 01 /03 /mars /2009 10:46
Le bouddhisme est devenu la 4ème "religion" de France même si le mot n'est pas approprié dans le sens théiste du terme, 1 millions de pratiquants sont recensés. C'est le développement le plus important, il est apparu dans les années 50 à la faveur d'une migration du sud est asiatique qui s'est implanté de façon discrète. En même temps de l'engouement des occidentaux pour de grands enseignants bouddhiques zen,  tibétains et du theravada. On compte actuellement des milliers de lieux de pratique aussi bien dans les grandes villes que dans les petites villes, villages. Les signes réels de son implantation c'est qu'on arrive maintenant à la 2ème génération de transmission d'occidentaux à occidentaux suite au phénomène de conversion, de prise de refuge et des préceptes. Alors le Dharma, religion ? Tout est une question de sens donné sur les termes, certains parleront de philosophie de vie ou d'esprit religieux selon des critères finis. Les français sont plutôt respectueux de la culture des autres, de celle qu'on étudie, les changements auront lieu à partir de cette compréhension, du vécu et de la pratique. Le bouddhisme est appelé à s'adapter ce qu'il a toujours fait  en intégrant les cultures présentes. Quel est son influence ? Il faut le voir à partir de l'individu lui même, s'il peut changer par le phénomène d'interdépendance cela s'appliquera à la société dans son ensemble : "Une seule personne bouge et l'univers bouge". C'est une vraie richesse pour le monde actuel, la difficulté étant de réunir toutes ces traditions bouddhistes différentes sur un même sol, c'est ce à quoi s'attache l'Union Bouddhique de France en organisant des évènements communs et inter religieux dans un sens plus large. Comme le dit le célèbre maitre vietnamien Thich Nhath hanh : il s'agit de mettre la plante exotique en pot en terre...Ce qui s'avèrera extrêmement riche pour le savoir humain.
Autre livre : JP Schneltzer psychiatre " bouddhisme expliqué aux occidentaux"
Revoir l'émission sur 1 semaine (cliquer): ici
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27 février 2009 5 27 /02 /février /2009 11:09

Explications des 6 brigands et leurs objets : La conscience, dans la perception de ces identités, se développe dans les six champs d'expérience appelés en tibétain kyetché drou, (écrit : bskyed mched drug)   littéralement “les six domaines d'extension de la conscience” . Ces six domaines sont en rapport avec les six sens : la vue, l'ouïe, le goût, l'odorat, le toucher, les cinq sens habituels, auxquels s'ajoute, dans la tradition bouddhique, le sixième sens, appelé le sens interne, c'est-à-dire la faculté de percevoir les phénomènes mentaux. Tout comme la vue est le sens qui a la faculté de percevoir les objets visuels, l'ouïe, les objets auditifs, le goût, les objets gustatifs, l'odorat, les objets olfactifs, le toucher, les objets tactiles, le sens mental a la faculté de saisir les objets mentaux, c'est-à-dire les pensées, les émotions, tout ce qui apparaît comme “objet” dans notre esprit.  Chacun de ces domaines s'étend donc depuis les objets perçus jusqu'à la conscience qui les perçoit au moyen de l'organe et de la faculté correspondants. Notre conscience dualiste, avec ses modalités de connaissance, concepts et représentations, opère dans ces six domaines, non pas simultanément, mais en passant d'une façon extrêmement rapide d'un champ à un autre ; par exemple, elle passe d'une expérience visuelle à une expérience auditive et puis à une expérience tactile ou mentale, etc. Il y a ainsi des flashs de conscience durant lesquels la conscience se fixe sur un objet visuel, auditif, olfactif, gustatif, tactile ou mental, en passant de l'un à l'autre très rapidement. Le défilement rapide de ces différents instants de conscience donne le sentiment d'une certaine continuité. C'est comme les images d'un film : lorsqu'on arrive à un défilement de vingt-quatre images / seconde, on ne s'aperçoit plus que ce sont des images séparées ; le défilement donne l'impression d'un mouvement continu. C'est cette succession extrêmement rapide d'instants de conscience qui donne l'illusion de la continuité dela conscience du“moi”...    kalou Rinpotché "yoga intéreur"                                                               

 

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26 février 2009 4 26 /02 /février /2009 10:46
Les êtres ignorants, d'intelligence limitée,
Sont incapables d'appréhender tous les phénomènes,
Aussi, dans ce soutra suprême et sacré,
Les phénomènes de la vacuité ne seront-ils que brièvement exposés.
Par le pouvoir de la compassion et pour faciliter son émergence
Par différents moyens, méthodes et causes,
Ce puissant soutra suprême et sacré est donné
Pour que tous les êtres le comprennent.
Ce corps est un village inhabité,

Les organes sont comme un groupe de voleurs
Qui vivent tous dans le même village,
Sans jamais se rencontrer.
L'organe de la vue court après les formes,
L'organe de l'ouïe se divertit avec les sons,
L'organe de l'odorat est captivé par diverses senteurs,
L'organe du goût sans cesse se rue sur les saveurs.
L'organe du corps recherche les contacts
Et l'organe de l'esprit considère les phénomènes.

Tels sont les six organes qui s'impliquent
Respectivement dans leur objet.
L'esprit a la fluidité du mirage
Et les six organes considèrent pleinement leur objet.
Telle une personne qui court dans un village désert,
Au gré de la troupe de brigands.
Ainsi l'esprit reste attaché aux six objets
Et connait par l'organe qui s'implique dans son objet.
A travers les organes, il perçoit
Les formes, les sons, les odeurs,
Les saveurs, les sensations tactiles et les phénomènes.
Parmi les six organes, l'esprit fluctue

Et se pose sur eux comme un oiseau.
Lorsqu'il s'établit sur l'un des organes,
Il donne à celui-ci la fonction de connaître.
Le corps, lui, ne bouge ni n'agit,
Sans essence, il nait de conditions.
Irréel, il n'apparaît que par des conceptions erronées.
Il est comme une machine pour travailler dans une ville inhabitée.
..(suite)
Extrait du soutra de la lumière dorée dont la récitation à travers le monde a commencé hier pour la paix...ici (en français!)
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25 février 2009 3 25 /02 /février /2009 11:42
Lama Zopa Rinpoche tells us, “The holy Golden Light Sutra is the king of the sutras. It is extremely powerful and fulfills all one's wishes, as well as bringing peace and happiness for all sentient beings, up to enlightenment. It is also extremely powerful for world peace, for your own protection, and for the protection of the country and the world. Also, it has great healing power for people in the country. ... Anyone can read this text, Buddhists and even non-Buddhists who desire world peace.”
Please join the recitation at any time. Recite at home or at your center. Recite alone, gather together in a group, join an online recitation, or organize a recitation yourself. Make prayers of aspiration to end violence and suffering, and to establish peace and happiness for all. If you can, determine to be responsible for bringing this about, especially by reciting this glorious sutra, which exists in order to end violence and establish peace especially in this world system.
Then recite this mantra, Om Dhare Dhare Bendhare Svaha, seven times.
When you have completed your recitations, dedicate the merits to the ordinary and ultimate peace and happiness of all beings. Then please report your recitations to me

www.fpmt.org/golden_light_sutra/contact.asp?Contact=Reporting
Traduction en commentaire
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24 février 2009 2 24 /02 /février /2009 10:40

Avec Mériam Korichi et R Enthoven

L’émotion est un matériau, une matière 1ère qu’on peut travailler de l’ordre de l’affecté et de l’affectant. Cela surgit sans contrôle, ce qui selon Kant la diffère de la passion qui est un fleuve qui creuse encore plus son sillon. Si le caractère est éruptif, certaines conditions peuvent être orchestrées comme dans les stades de foot, les clubs. L’émotion est d’abord expression en certains lieux, certain entourage, sa ritualisation ne la contredit pas. Le peuple a besoin qu’on lui fournisse des passions  « panem et circus ». Cependant une émotion codifiée peut êtres sincère, comme pour la mort de sœur Emmanuelle, on observe une communicabilité de l’émotion, un mimétisme de l’ordre de l’imitation affective. Bill Viola, vidéaste a travaillé avec des acteurs sur la représentation de la tristesse avec l’émotion ressentie. Car comment tel Meursault dans l’étranger de Camus peut on la reconnaitre si elle n’est pas exprimée. Dans le tremblement de terre de la province du Sichuan, le déplacement du politique est de l’ordre de la manipulation, on est dans le spectacle de la compassion, lafinalité est de produire un effet. On a en mémoire aussi un  french doctor avec des sacs de riz sur l’épaule devant les photographes…Hannah Arendt a fait une critique de la politique de la compassion, elle fait du mal au politique, c’est une politique pervertie qui fait passer l’individu du citoyen au malheureux, à la victime, mot qui revient souvent dans le discours de notre président actuel. La pitié est la répugnance innée à la souffrance de JJ Rousseau. Ce qui fait dire à F Nietzsche que pour être bon il suffit d’être faible qui est la subversion des malheurs. C’est un glissement tendancieux de la politique à la morale, une dégradation. Trop"user "des bons sentiments peut aussi promouvoir l’insensibilité, le revers étant la barbarie. A l’inverse : Photo de Sunita Devi, mère qui découvre qu’elle a perdu sa fille dans un attentat et qui montre le caractère irrépressible d’un cri muet : « l’eau qui rompt avec sa digue »  Kant. Les hommes construisent avec leurs affects c’est ce qui constitue le semblable, qq chose qui relie les individus.

Revoir l’émission (cliquer) : ici

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23 février 2009 1 23 /02 /février /2009 10:44

SS Dalaï Lama a répondu à une interview pour le point alors qu’il visitait Auroville après avoir inauguré le pavillon tibétain, cité internationale de 44 pays près de Pondichéry : « le monde a besoin de tentatives comme celle d’Auroville ». Interrogé sur l’attentat à Bombay, il précise que le terrorisme est envers soi même, le vrai djihad c’est contre soi même, la violence ne fait pas partie du Coran. Dans le bouddhisme, la violence est permise seulement avec une motivation de compassion et de sagesse pour se défendre. Le vrai moteur de la violence est mental, c’est pourquoi il faut utiliser le dialogue pour la prochaine génération de musulmans. SS Dalaï Lama reste toujours le porte-flambeau du Tibet après avoir laissé les décisions aux élus tibétains, ses 1ers engagements sont de promouvoir les valeurs humaines sur l’humanité entière et l’harmonie parmi les traditions religieuses. Il s’est bien remis de ses récentes opérations et pense vivre jusqu’à 95 ans, grâce à toutes ces heures de méditation et de contemplation n’en déplaise aux chinois ! Quand à sa prochaine réincarnation pourquoi pas en femme ou de son vivant ce qui contrarieraient les plans chinois…Bien obligé de reconnaitre que les 50 ans de politique de non violence ont échoué. La solution serait un mouvement de protestation du monde entier comme celui de la guerre au Vietnam, l’élection d’Obama est un signe positif, comme les avancées de l’union européenne. Ce dont nous avons besoin c’est d’un peu plus de compassion les uns pour les autres et du sens de l’humour ! Que l’on croie au bouddhisme ou non, nul doute que c’est une des philosophies les plus riches du monde, cela explique cet engouement croissant en France. Il est urgent pour les dommages déjà occasionnés par les déchets nucléaires sur le plateau tibétain d’agir, une zone de paix tampon avait été proposé entre les 2 grands pays.

Tibet, le combat pour la liberté A l’ occasion du 50e anniversaire de l'exil du dalaï-lama, France 5 diffuse, le lundi 9 mars à 20h35, un documentaire tourné en 2008 sur la vie du dalaï-lama et à travers lui, sur l'histoire du Tibet.

 

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22 février 2009 7 22 /02 /février /2009 10:40

Les nonnes philosophes pour parfaire leur connaissance et leur sagesse méditation participent à des rencontres sous forme de joutes oratoires, qui ponctuent des enseignements de plus haut niveau. Ceci font partie d0222084418DVB-TFrance-2.jpg'une méditation analytique avec 7 niveaux de débats du plus élémentaires au plus élevé d'aprés les plus grands textes philosophiques des maîtres indiens et tibétains comme Asanga, Atisha et Tsong khapa. Textes majeurs de la perfection de la sagesse sur le renoncement, la compassion,  l'éveil, la boddhicita et les 6 perfections. Des geshés les accompagnent pour valider leurs années d'enseignements et de méditations et les guider sur la façon dont un raisonnement doit être mené pour être validé, ex : la perception et le facteur mental ou fonction cognitive...Le geste de taper dans les mains est la symbolique de se ré-éveiller des ténèbres, en remontant avec le mala le long du bras pour ramener les êtres inférieurs vers la lumière et bloquer les émotions négatives. Celui qui est assis a une attitude humble de contrôle et doit résister à la pression de celui debout qui argumente. Ces rencontres ont lieu à Jamyang Choling à Dharamsala depuis 1995 pour les nonnes venant d'Inde et du Tibet sous l'impulsion de SS Dalaï Lama.
Revoir l'émission dés qu'elle est en ligne pour 1 semaine (cliquer) : ici

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