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26 avril 2018 4 26 /04 /avril /2018 19:15

composé d’atomes et que la plus petite particule est ce qu’on appelle un quark, ou quelque chose comme ça, tellement petit, vraiment minuscule, minuscule. Et toutes ces particules vibrent en permanence, elles bougent tout le temps, mais, entre elles, tout est espace.

Donc, tout est vibration, puisque ça vibre, ça change, c’est de l’énergie, tout est fait de la même chose, c’est la même composition, toute la matière est composée d’atomes qui vibrent, c’est de l’énergie, de l’énergie vibrante.

C’est comme ça que le monde matériel existe, de cette façon, on ne le voit pas, on sait seulement qu’il existe, c’est comme un point de vue scientifique, ou comme une théorie. Pour nous, c’est presque impossible à voir mais c’est pourtant comme ça, si vous vérifiez.

Lorsque les Bouddhistes parlent de la vacuité, par exemple, c’est la même chose, la mécanique quantique, la physique quantique et, de la même façon, la philosophie, tout ça c’est la vacuité, c’est la même chose, tout le monde parle de la même chose. Maintenant, peu à peu, nous nous rendons compte qu’en fait la science et la spiritualité se rapprochent, deviennent la même chose à travers différents chemins, différentes approches. C’est incroyable, vous savez, vraiment, vraiment incroyable.

La mécanique quantique affirme que tout est conscience, c’est comme la vacuité, quand les Bouddhistes disent que tout est créé par l’esprit, tout est imputé, la conscience impute...

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22 avril 2018 7 22 /04 /avril /2018 09:45

Alors que l’on observe un véritable engouement pour la méditation si elle est coupée de ses véritables racines qu’en penser ? Si elle est coupée de son fondement qu’est l’esprit d’éveil dans une démarche altruiste, spirituelle, de libération de l’ego, de l’auto chérissement ?

Le terme méditation issu du catholicisme était employé pour désigner une réflexion brillante puis plus intellectuelle, philosophique à la suite de Descartes. Ensuite la méditation de pleine conscience a été propagée dans les années 70 par John kabat Zinn a des fins thérapeutiques avec des applications bénéfiques indéniables sur la santé, la dépression. Des hôpitaux, institutions, écoles, à des fins complètement utilitaristes, il faut peut être avoir une certaine vigilance à tous ces emprunts face à un danger potentiel de dérives, produire plus et plus vite, un sniper peut aussi développer l’attention…

Il existe une variétés de pratiques regroupées sous le terme de méditation, d’un simple hobby ou gym douce, bien être, développement personnel d’où un nécessaire encadrement avec des personnes compétentes qui ont un vrai savoir faire pour atteindre le calme mental, le silence intérieur et pour une quête plus profonde revenir aux fondamentaux.

Reconnaître les souffrances est une chose, la perte de rapport avec soi même, la nature, dans son rapport corps, parole, esprit, le ressenti de soi même, cela requiert un examen, une introspection, faire appel à ceux qui ont l’expérience d’une méditation authentique, pour en faire bénéficier la société. Selon Lama Zopa Rimpoché dont les enseignements sont en live streaming de Bendigo Australie, lire des livres à un moment ne suffit plus. D’après Eric Vinson dans sagesses boudhistes

 

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18 avril 2018 3 18 /04 /avril /2018 11:02

...inconditionnelle et l’amour altruiste sont les émotions les plus positives que l’on puisse connaître. La méditation sur la compassion est l’état qui produit la plus puissante activation neuronale, au point que des chercheurs en psychologie positive, comme Barbara Fredrickson, ont en conclu que l’amour était l’ « émotion suprême ».

Plus que tout autre état mental, il ouvre notre esprit, il nous permet d’envisager des situations selon une perspective plus vaste, d’être plus réceptifs à autrui et d’adopter des attitudes et des comportements plus souples et plus innovateurs. Il provoque une spirale ascendante d’états mentaux constructifs. Il nous rend également plus résilients, nous permettant de mieux affronter l’adversité.

De tels états n’ont rien n’a voir avec la monotonie ou l’indifférence. En véritable force intérieure qui n’a rien n’a voir non plus avec un état de fascination, tel que l’on peut l’être dans l’amour attachement. Un frère et une sœur certains les reconnaissent ?

 

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15 avril 2018 7 15 /04 /avril /2018 17:38

Comment répondre de façon pertinente à des situations de notre quotidien, comment clarifier notre rapport à l’erreur, en faire un matériau de transformation sur notre vision de culpabilité.

L’enfance est un moment fondateur pour la culpabilité, Les enfants ne sont pas une page vierge, ils ont déjà leurs imprégnations ou personnalité, ils ont besoin de réassurance, les besoins et apports d’avec les parents ne sont pas toujours en adéquation, et le sentiment de ne pas se sentir aimer conduit à ne pas se sentir aimable.

La fin de vie, période de bilan, est aussi une période difficile et vouloir apaiser à tout prix ne marche pas, juste accueillir sans jugement, ce qui est une bienveillance plus évidente. La personne a mis les choses comme en suspens, en l’état, dans cette impression d’irréparable, se dire alors que toutes les conditions n’étaient pas réunies pour savoir « si j’avais su »....

La culpabilité est faite d’ignorance, d’aversion d’attachement, d’orgueil, nous avons besoin pour en sortir de revoir notre rapport aux autres, aux émotions, nous avons besoin pour savoir ce qui est juste d’accomplir, de méditation, de discernement, d’Éthique.

Alors quels sont les outils ? à travers 4 aspects et 1 joker : voir d’abord l’émotion quand elle surgit, l’accepter, bien l’identifier et s’entraîner à ne pas la suivre, le joker est se réjouir de l’avoir vu, de ne pas réagir de façon dramatique, puisque nous sommes en apprentissage « apprentis-sages ». Cela nous donnera une certaine forme de légèreté et d’indulgence, le regret est préférable au pardon qui induit la notion de faute, dans un souhait sincère de vouloir s’en sortir . Voir aussi s’aimer enfin Cfauré

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11 avril 2018 3 11 /04 /avril /2018 16:15

C’est ce dans quoi nous ne cessons d’être immergés mais comme la plupart du temps nous baignons dans les chimères, recouvrant le Réel de mille couches, le redoublant d’une infinité de Doubles nous nous interposons de ce fait entre lui et nous.

Nous ne cessons de dupliquer la réalité, nous ne cessons de nous duper nous-mêmes en ce mille et un sortilèges. C’est bien la vocation du philosophe de dénoncer les illusions dans lesquelles vivent leurs semblables, encore faut il que les penseurs soient aptes à une critique auto référentielle, autrement dit aptes à dénoncer les illusions des dénonciateurs de l’illusion. Les sceptiques grecs, Montaigne, Pascal, Schopenhauer et Nietzsche furent les principaux membres de cette famille très réduite, on peut y ajouter Clément Rosset. «De Platon à Guy Debord, les hommes excellent dans l’art de détourner le regard» : affirmation qu’il fit à R Enthoven en 2007. 

Rosset et Lacan en son temps interrogent le Réel, ce Réel qui constitue pour Lacan l’un des trois sommets du triangle cher au psychanalyste, les deux autres étant l’Imaginaire et le Symbolique. Pour Rosset cela ne se joue pas dans l’enfance confronté au réel, à l’autre, car il convient de se réconcilier avec le Réel, non seulement il est l’unique dimension, mais quelque chose de joyeux émane de lui sitôt que l’on est apte à percevoir son caractère inouï, son absolue singularité. «Il faut approuver le réel, non parce qu’il nous plaît mais parce qu’il est réel. Pourquoi ? Parce que de cette approbation “folle” s’ensuit une merveilleuse joie de vivre allergique à tout motif d’indignation possible, donc de tout affaiblissement».

 Et de faire la différence entre l’impensable qui est réel mais impossible à conceptualiser (ainsi l’espace, le temps, le mouvement, mais aussi bien le camembert), et l’illusoire étant irréel mais propice à l’abondance d’un discours. La Nature n’existe pas, l’idée de Nature est une illusion. «La nature des choses, c’est que les choses n’ont pas de nature». D’après P Granarolo, spécialiste de Nietzsche, et ami.

 

 

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8 avril 2018 7 08 /04 /avril /2018 15:22

Pour faire la différence avec la culpabilité qui elle est un jugement négatif, l’erreur devient alors une faute difficile à vivre dans un rapport confus limite et limitant. Nous avons oublié que nous sommes tous des apprenants de la vie, à être au monde pour y apporter le meilleur, nous cherchons à y voir plus clair sans nécessairement se mettre à défaut. Car nous ne sommes que dans une version de la réalité, une représentation que nous prenons pour la vérité dans notre monde de représentations. Nous colorons de façon singulière ce que nous comprenons des autres, de nous mêmes, d’où forcément les erreurs cognitives, émotionnelles, afflictives.

Le problème est cette notion de faute, très présente dans notre société judéo chrétienne, on ne valide pas ce qui est réussi, c’est une version pas très cohérente avec d’autres versions qui se placent plutôt du point de vue du but. L’erreur devient faute quand le jugement négatif apparaît, les conséquences de nos actes vont laisser des traces sur l’esprit. L’ego que nous déclinons sous différentes interprétations psys, est une identification au corps et à l’esprit, le « Moi » se croit réellement existant, ce qui est une erreur de fait. Nous construisons tout autour de cette entité comme si elle était autonome, séparée du reste, de plus dans la durée, nous sommes dans l’illusion de ne pas devoir se tromper.

C’est très invalidant pour notre estime de soi et notre confiance en soi, des personnalités se construisent sur la culpabilité nous rendant durs avec nous mêmes sans le nécessaire regard bienveillant. Suite de l’émission A2 dimanche prochain 8h30

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6 avril 2018 5 06 /04 /avril /2018 14:30

Des récits de soi dans la résilience narrative avec le préverbal dans le 20ème mois (le chien à titre d'exemple peut disposer de 300 mots). Si l’enfant est privé d’affection cela entraînera une altération cognitive (60 millions d’enfants à cause des guerres, famines etc). Paul Ricoeur « récit de soi à condition de mémoire », la mémoire n’est pas le retour du passé mais la représentation, un travail de reconstruction de soi. Le récit modifie la représentation ou la mémoire est remaniée, la fiction n’imagine pas mais agence.

Il semblerait que notre mode de société dans son entier se profile par l’individualisme et l’égoïsme, alors que ce sont justement les petites frustrations qui permettent de construire la représentation de l’autre.

Le langage maternel rassure, sans altérité, le monde est une agression, le système limbique est altéré qui est cette mémoire associée aux émotions, on a besoin d’une histoire, une représentation du temps. L’émotion est façonnée par les accidents de la vie, selon ce qu’on aura vécu le mode d’attachement peut être soit sécure soit évitant, le développement de l’enfant, ses apprentissages en seront affectés.

Les émotions difficiles s’impriment dans la mémoire, mais intégrées dans un récit, la connotation peut modifier la manière dont on les met en mémoire. La mémoire est une reconstruction du passé, d’où la nécessité de la fonction artistique, culturelle pour transformer tout ce qui fait la souffrance de la condition humaine.

La mémoire est évolutive : « A partir du présent on s’enivre du passé » Baudelaire, on réinterprète le passé , les mêmes souvenirs peuvent être interprétés différemment selon comment on se sent au présent.

Le pire des traumas dans les 1ers mois de la vie c’est l’isolement sensoriel affectif si cela dure au-delà de 3 semaines les lobes temporal, préfrontal, l’amygdale s’atrophient. Les personnes lobotomisées sont soumis au contexte, la représentation du temps située au lobe préfrontal est affectée, sans plus d’anticipation du futur et passé, les pervers sont ainsi, seul compte mon plaisir, narcisse jouit dans l’instant, pas de représentation de l’autre qui aurait dû se faire à 4 ans, ainsi pas d’empathie.

En ce qui concerne la mémoire on a les moyens de la contrôler, la faire évoluer, une expérience traumatique peut être réinterprétée avec une nouvelle connotation assimilable. Dans un trauma, la mémoire représentative alterne l’événement premier dans un hébétement qui se focalise sur lui en syndrome post traumatique, imprégnant la mémoire biologique. C’est pourquoi il est conseillé à ces personnes de faire une représentation mentale intime nécessaire par l’écriture pour éviter ces symptômes post traumatiques.

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2 avril 2018 1 02 /04 /avril /2018 20:09

Pour pouvoir se détacher de ses propres problèmes et de ce qui nous entoure, encore faut il pouvoir les comprendre. Cela demande à s’engager dans une pratique, cela n’est pas une simple décision au risque de passer à côté du lâcher prise, le vouloir est encore s’attacher à une action. S’astreindre à une discipline, un suivi psychologique, un vrai travail qui peut prendre plusieurs années, à l’exemple de l'apprentissage du tir à l’arc avec la synchronisation des respirations, le mûrissement du décoché et la libération de l’arc.

Conquérir sa vraie nature c’est aller contre les idées reçues, faire le lien entre soi et l’esprit, arriver à être en harmonie avec son être authentique. En occident méditer veut souvent dire réfléchir, alors qu’il s’agit de rentrer en son être profond dans un état d’esprit qui se cherche, se travaille, s’expérimente sans chercher à vouloir tout contrôler. Emission sagesses boudhistes dimanche 8h30 Taïkan Jyoji voir livres

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26 mars 2018 1 26 /03 /mars /2018 14:03

avec le musicologue O Belamy, J Frèches sinologue, A Bougrain dubourg, C Pelluchon philosophe, N Chai vétérinaire, Leili Anvar poète, E Fontenay philosophe, FO Giesbert...

Cela relève du sacré, ce qui enlaidit l’homme c’est la conscience de lui même, l’ego, la musique est là humblement pour faire plaisir, se rappeler du chant de l’étourneau dans le final du 17ème concerto de Mozart. Pour J Frèches qui rend aussi hommage à ce geste dans notre actualité, le vivant est une unité dans le Taoïsme ou il s’agit de contrôler la voracité du dominateur et citant Kant «l’intelligence est la somme d’incertitudes que l’on est capable d’assimiler ». Nous ne sommes qu'au début des capacités que l'on découvre chez l'animal...

L’animal est dans un comportement juste puisqu’il n’est ni assujetti au jugement ni à la culpabilité, nous ne pouvons continuer dans l’exploitation illimitée du vivant. Il va bien falloir trouver des règles pour construire le bien commun et mettre les animaux au sein de la transition, de l’Éthique à la politique, passer de la conscience à l’action dans nos enjeux de civilisation.

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25 mars 2018 7 25 /03 /mars /2018 19:59

...devenu négligeable. Dans une société, groupe d’individus nous avons des droits mais aussi des devoirs pour régir notre rapport aux autres, du respect mutuel, ne pas nuire aux autres et à soi même, de la bienveillance.

Notre vue doit être sur le long terme pour contrer un matérialisme démesuré, nous avons besoin de contrôler nos désirs, de bien évaluer ce qui peut nous être préjudiciable : si nous aimons le chocolat gare à son excès. A notre naissance nous avons des tendances à améliorer, d’autres à s’abstenir avec notre corps comme le vol, tuer, l’inconduite sexuelle, contrôler notre parole, mensonges, calomnies, médisances, contrôler son esprit, la convoitise, méchanceté, les vues fausses comme affirmer ce qui n’existe pas, dans des modes d’existence.

Quel est le sens de notre vie, c’est bien d’être heureux, d’être bénéfique, nous avons une responsabilité universelle qui est d’éliminer la souffrance, les hommes ont plus de capacité pour le respect des êtres. Si l’on n’a pas encore cette capacité, nous pouvons prendre des engagements pour contribuer à un véritable bonheur dans notre société.

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